Comme tout blog qui se respecte, celui-ci se doit de contenir un message liminaire expliquant le pourquoi du comment de tout ceci. Parmi toutes les raisons à invoquer, on peut citer : l'envie de partager son avis (forcément profond et supérieure) afin d'éclairer l'humanité abrutie, la volonté d'oeuvrer à sa manière au bien de l'humanité, de devenir célèbre parce que si Bigard peut le faire alors je peux le faire. Le tout serait assaisonée d'une pincée de modestie feinte ou sincère, mais cachant plutôt mal que bien le mépris pour les autres blogs. 
Ce sentiment pourrait d'ailleur transparaître dans ce préambule. Alors qu'en fait je ne cherche qu'à broder et à remplir les lignes parce que je ne sais justement pas quoi écrire dans cette putain d'introduction. Finalement je vois pas pourquoi je me justifierais de quoi que ce soit !

Par souci de discrétion, certains noms public ou privés seront déguisés. Les personnages privés sont mes amis et faut pas les emmerder un point c'est tout et les personnages publics par respect.
Ce fut d'ailleurs déjà le cas dans le premier message qui était censé être le second, mais si je l'avais posté en second je n'aurais pas pu m'y référer dans le présent supposé premier message qui est de fait le deuxième mais qui en vertu du classement chronologique inverse va finalement se retrouver le premier sur cette page. Avant de se retrouver en deuxième position lorsque sera publié le troisième message, éternellement avant-dernier. 
Bref je voulais simplement dire que c'est donc sciemment que j'ai remplacé le nom de Christine Adamy, lieutenante-colonelle de sapeurs-pompiers au service départemental d’incendie et de secours des Côtes-d’Armor recevant la légion d'honneur par celui de Jacques Séguéla qui contrairement à la rumeur est toujours vivant et donc mérite amplement sa décoration.

Donc toi lecteur tombé ici par hasard, fais ce que tu veux de cette page, libre d'aimer, de détester, tu as le choix de me laisser des commentaires. Je te demande seulement de laisser cette page aussi propre que tu l'as trouvé en arrivant. Quant à vous lecteurs et lectrices invités, j'attends vos commentaires avec febrilité.